je recherche des informations sur la famille HOHWEILLER. Mon arrière grand père était propriétaire de l'usine et j'aimerais savoir si vous possedez des éléments sur cette usine.
J'ai retrouvé dans un acte de mariage Edouard HOHWEILLER, il était avec mon arrière grand-père Victor GROSDIDIER, témoin de mariage du frère de mon arrière grand-père Louis Nicolas GROSDIDIER.
Il y est écrit : Edouard HOHWEILLER, industriel à Senon, ami de l'époux.
Quel était le prénom de votre grand-père ? Avec qui était-il marié ?
Au cimetière de Senon se trouve une tombe des HOHWEILLER, mais attention elle risque de disparaître ! La mairie de Senon l'a mise sur la liste des "tombes abandonnées"
Edouard HOHWEILLER était L' arrière grand père marié à Louise DESPLACES il a eu cinq enfants dont le grand père de mon époux Paul HOHWEILLER qui aurait repris la suite de l'entreprise (seul ou avec ses frères et soeurs, je ne le sais pas).
Après la guerre de 14/18 l'entreprise aurait arreté son activité faute de pouvoir s'approvisionner en bois pour la réalisation des boites de peinture Lefranc Bourgeois.
Je ferais suivre l'information a ma famille pour la tombe qui risque de disparaitre. Pouvez vous m'indiquer quelles sont les personnes qui figurent sur cette tombe ?
Je n'arrive pas à retrouver la photo de la tombe que j'avais faite. A l'occasion j'en referai une autre...
A moins qu'une personne de Senon en fasse une entre temps.
En attendant, voici une copie du document affiché par la mairie à la porte du cimetière : Dans la liste est noté la concession n° 186 prise à l'époque au nom de Elise HOHWEILLER.
En contactant la mairie vous pourriez aussi savoir toutes les personnes qui y reposent.
La tombe est grande, de nombreuses personnes doivent y reposer.
Je sais auusi que des ANTOINE y reposent également.
Je reviens sur un commentaire de Pascal à propos des ANTOINE qui seraient enterrés là.
Sur le côté gauche du caveau est effectivement gravé "Famille ANTOINE", mais je ne sais pas précisément quel(s) membre(s) de la famille ANTOINE est ou sont concernés.
Juliette ANTOINE née HOHWEILLER serait-elle là, ainsi que ses enfants morts en bas âge ?
(Re)voilà une publicité datant de 1894 qui, en bas de page, fait mention de la maison BOURGEOIS Ainé (fabricant de couleurs, encres et boîtes) à Paris dont une des usines se trouvait à Senon.
Voilà ce que la société LEFRANC BOURGEOIS a bien voulu me donner comme information sur l’historique de la société BOURGEOIS.
En cherchant à savoir si elle possédait d’autres documents sur l’usine de Senon, le responsable du service consommateurs s’est proposé de me donner libre accès à leurs archives. Malheureusement ces archives sont au siège de la société au Mans. Si quelqu’un souhaite s'y rendre, faites-moi signe, je vous mettrai en contact avec ce responsable.
HISTORIQUE
En 1816, Joseph BOURGEOIS, artiste-peintre et parent de Joseph Bourgeois aîné, découvre la manière d’extraire la Garance. Au milieu du XIXème siècle, il perfectionne la couleur de la Laque de Garance.
En 1867, Joseph BOURGEOIS Aîné ouvre un magasin de couleurs au 18, rue Croix des Petits-Champs dans le 1er arrondissement à Paris.
A la fin du XIXème siècle, l’activité BOURGEOIS dirigée par Charles (le père) et Firmin (le fils) est transférée du 15 au 22 de la rue Claude Tillier dans le 12ème arrondissement. L’usine de fabrication se trouve à Montreuil-sous-Bois et l’usine d’ébénisterie à Senon. BOURGEOIS se spécialise surtout dans la peinture scolaire et les beaux-arts. Inventeur des couleurs sans danger, il commercialise aussi les premières boîtes de couleurs primaires pour les écoles. Il devient peu à peu un concurrent direct des établissements LEFRANC.
Au milieu du XXème siècle, l’entreprise familiale est dirigée par Yann Le QUELLEC, gendre de M. BOURGEOIS. Dans les années 1940, BOURGEOIS achète la société LINEL, réputée pour ses gouaches beaux-arts. A la fin des années 1960, en bon terme avec Albert LEHMANN LEFRANC, Yann Le QUELLEC lui propose la fusion des départements Beaux-arts et Scolaires des deux entreprises, ce qu’il advint en 1966.
Voilà ce que la société LEFRANC BOURGEOIS a bien voulu me donner comme information sur l’historique de la société BOURGEOIS. En cherchant à savoir si elle possédait d’autres documents sur l’usine de Senon, le responsable du service consommateurs s’est proposé de me donner libre accès à leurs archives. Malheureusement ces archives sont au siège de la société au Mans. Si quelqu’un souhaite si rendre, faites-moi signe, je vous mettrai en contact avec ce responsable.
En 1816, Joseph BOURGEOIS, artiste-peintre et parent de Joseph Bourgeois aîné, découvre la manière d’extraire la Garance. Au milieu du XIXème siècle, il perfectionne la couleur de la Laque de Garance.
En 1867, Joseph BOURGEOIS Aîné ouvre un magasin de couleurs au 18, rue Croix des Petits-Champs dans le 1er arrondissement à Paris.
A la fin du XIXème siècle, l’activité BOURGEOIS dirigée par Charles (le père) et Firmin (le fils) est transférée du 15 au 22 de la rue Claude Tillier dans le 12ème arrondissement. L’usine de fabrication se trouve à Montreuil-sous-Bois et l’usine d’ébénisterie à Senon. BOURGEOIS se spécialise surtout dans la peinture scolaire et les beaux-arts. Inventeur des couleurs sans danger, il commercialise aussi les premières boîtes de couleurs primaires pour les écoles. Il devient peu à peu un concurrent direct des établissements LEFRANC.
Au milieu du XXème siècle, l’entreprise familiale est dirigée par Yann Le QUELLEC, gendre de M. BOURGEOIS. Dans les années 1940, BOURGEOIS achète la société LINEL, réputée pour ses gouaches beaux-arts. A la fin des années 1960, en bon terme avec Albert LEHMANN LEFRANC, Yann Le QUELLEC lui propose la fusion des départements Beaux-arts et Scolaires des deux entreprises, ce qu’il advint en 1966.
Voilà l'intérieur d'une boîte de peintures, au moins du temps de BOURGEOIS Ainé. J'imagine que les boîtes du temps de l'usine HOHWEILLER devaient être similaires